Kalilaé organise des espaces de rencontre bienveillants où des personnes se réunissent pour parler librement de la mort, sans tabou, sans expertise requise ou attendue.

Inspiré des “cafés mortels” initiés en Europe par le sociologue et anthropologue suisse Bernard Crettaz tout début 2000, ce format invite à explorer collectivement nos peurs, nos croyances, nos expériences ou nos questionnements liés à la fin de vie.

Autour d’un café, dans une ambiance intime et respectueuse, chacun peut s’exprimer, écouter ou simplement être présent, dans une démarche d’humanité partagée.

Ces conversations, loin d’être morbides, permettent souvent de mieux comprendre la vie, de se relier aux autres et de cultiver une forme de sérénité face à l’inévitable. Elles soutiennent notre humanitude singulière et unique dans tous ces moments de vie. Elles rendent légitimes nos états d'âmes en symbiose avec l'autre, elles font sortir de l'isolement, elles apaisent tout simplement.